Selon un communiqué, l’UPR exprime son rejet total du projet de loi dit « de réconciliation nationale » et s’étonne que cette démarche qui menace les valeurs fondamentales de la république soit conduite sous la tutelle de la présidence de la république.En effet, il est inadmissible, quelques soient les prétextes invoqués, d’amnistier ceux qui ont détourné des fonds, usé de privilèges illicites à la seule condition qu’ils restituent la contre valeur de leurs forfaits, et d’emprisonner les petits délinquants même s’ils rendent leurs butins.Quel message veut-on délivrer au peuple ? Quelle est la conformité de cette démarche avec l’égalité de traitement garantie par la république ? Quel est ce cynisme qui fait de l’institution supposée être garante des valeurs républicaines celle qui en menace les fondements ? Ajoute le communiqué